Les remèdes ayurvédiques : l’Amalaki pour nettoyer les toxines

L’Amalaki, également connu sous le nom d’Amla, est le super-fruit traditionnel de l’Inde. C’est le mot hindi désignant un arbre fruitier (Emblica officinalis ou Phyllanthus emblica) qui pousse dans toute l’Inde et porte des fruits ressemblant à des groseilles au goût aigre.

Utilisé depuis des milliers d’années, c’est l’un des fruits les plus importants de la médecine ayurvédique. L’Amalaki est riche en antioxydants et possède l’une des plus fortes concentrations de vitamine C relativement et de ses cofacteurs dont les bio-flavonoïdes (un cofacteur est une petite molécule associée à la vitamine qui rend son activité catalytique possible).

L’Amalaki est le fruit synonyme de rajeunissement en profondeur car il peut être utilisé pour régénérer le système digestif.  Il soutient une fonction hépatique et inflammatoire saine et agit comme un tonique pour la santé globale.

C’est l’une des plantes phare de la médecine ayurvédique.  Elle fait également partie de la formule nommée Triphala et de la formule nommée Chyavanprash.

Que signifie Amalaki en Sanskrit et en Hindi ?

« Amala » signifie pur, propre et brillant. Avec le suffixe “Ki”, Amalaki signifie “Ce qui vous rend pur, propre et brillant”. Un autre nom, “Dhatri”, signifie “l’infirmière”. “Amla” signifie simplement “aigre”, car c’est le dominant de ses 5 goûts.

« Ama » signifie aussi les toxines accumulées dans les tissus du corps et « laki » l’action de nettoyer, comme une vague qui emporte tout.  On le voit, le Sanktrit et l’Hindi sont des langues très riches.

DECOUVRE NOTRE COMPLEMENT ALIMENTAIRE AMALAKI

 

Amalaki

Composition de l’Amalaki

Le complément ayurvédique Amalaki est composé à 100% de poudre du fruit Amla pure et bio.

Bienfaits de l’Amalaki

Amla apaise vata, pitta et kapha, bien qu’il soit particulièrement apaisant pour pitta. De plus, Amla rajeunit tous les tissus du corps et construit ojas, l’essence de l’immunité et de la jeunesse. De manière général, Amla est un puissant allié pour de nombreux systèmes du corps. Il est connu pour favoriser l’énergie, la santé reproductive et des niveaux sains de cholestérol.  Amla est également un tonique pour le cœur, le système artériel, le système respiratoire, les organes des sens et l’esprit.

L’Amalaki est un véritable soutien au système digestif car il est alcalinisant : il rééquilibre la production d’acide gastrique, ce qui améliore la digestion et l’absorption des nutriments.

Amalaki

Notre Amalaki Organic India

Notre Amalaki est composé à 100% de plantes bio, réduites en poudre et encapsulées de la marque Organic India. Des plantes cueillies à la main séchées à basse température dans des conditions éthiques et équitables afin de te garantir la meilleure efficacité ! Tu peux retrouver tous nos compléments alimentaires ORGANIC INDIA sur notre site vidya.shop.

Si tu as aimé cet article, n’hésite pas à nous laisser un commentaire !

Prend soin de toi 🧡

On a testé pour toi – Une semaine sans sucres raffinés

Je te retrouve pour un nouveau « On a testé pour toi » ✨. Je te rappelle le principe, on teste une pratique un temps et on revient vers toi pour faire un retour sur l’expérience.

Hello, je suis Éloïse (coucou👋🏼) nouvelle recrue dans la team Vidya, et je me suis lancé le défi de stopper le sucre raffiné pendant une semaine.
Prise dans une forme d’addiction, je me sentais complètement aspirée par la spirale infernale des bonbons, gâteaux et chocolats (industriels, souvent j’avoue🤭).
Et puis qu’on se le dise, le sucre c’est aussi cet aspect social et fédérateur qu’on retrouve au 4 coins de la planète. C’est ancré dans la culture mondiale, se retrouver autour d’un délice sucré a toujours été symbole de convivialité.

Je t’embarque avec moi une semaine, au travers de mon « No Sugar Diary ».

une semaine sans sucres raffinés

LE SUCRE RAFFINÉ : C’EST QUOI ?

Sodas, gâteaux, bonbons, desserts, chocolats, viennoiseries mais aussi pain, pâtes, plats préparés, sauces,… le sucre est PAR-TOUT 🤯!
Le sucre a ce pouvoir de dépendance qu’on peut comparer aux grandes drogues. Et ça évidemment, les industries l’ont bien intégré.
En 2017, une étude complètement dingue a démontré sur des rongeurs que l’addiction au sucre était comparable à celle de la cocaïne…
Sur 100 rats testés pendant l’expérience, 94 ont largement préféré le sucre à la cocaïne. (source : Intense Sweetness Surpasses Cocaine Reward)
En effet, la consommation de sucre stimule dans notre cerveau ce qu’on appelle le noyau accumbens, ou aussi appelé le circuit de récompenses.
En bref, le sucre entraîne la libération de dopamine, l’hormone du bonheur. La spirale est lancée, sucre = bonheur, sucre = récompense.
Les sucres utilisés dans l’industrie ou présents généralement dans nos placards sont des sucres raffinés qui suivent des procédés lourds qui les exemptent de leurs propriétés nutritives.

⚠️ Le sucre est-il un ennemi ? Non. Essentiel à notre organisme, il permet de stocker ton énergie et de synthétiser des protéines.
Évidemment on parle de « bons » sucres, non raffinés et en petite quantités.

Le sucre industriel est en fait du saccharose pur dépourvu de tout nutriment pour être considéré comme un produit « chimiquement pur » répondant aux normes et réglementations. Il est constitué d’une molécule de fructose et d’une molécule de glucose. Extrait de la betterave ou de la canne à sucre, le sucre passe par plusieurs procédés mécaniques avant d’arriver à leur forme finale de cristaux, liquides, … :

• Traitement physique par broyage (canne) ou trempage dans de l’eau chaude (betterave) ;
• Filtration
• Traitements chimiques à la chaux puis clarification du jus chaulé avec de l’anhydride carbonique et de l’anhydride sulfureux,
• Déshydratation et cycle de cuisson sous vide pour obtenir d’une part le sucre cristallisé et d’autre part de la mélasse.

LES MÉFAITS DU SUCRE RAFFINÉ

Une consommation de sucre quotidienne engendre des conséquences néfastes sur notre santé :

• Entraîne des problèmes de digestion
Attaque la flore antibactérienne entrainant la chute du système immunitaire
Fermentation intestinale : le sucre crée un milieu propice au développement de mycoses intestinales, et à plus grande échelle le développement de cellules cancéreuses
Cause principale du diabète et de l’obésité
Augmente considérablement le taux de cholestérol et de triglycérides, favorisant hypertension et maladies cardio-vasculaires
• Cause le vieillissement prématuré des tissus, en particulier de la peau
• Cause principale du développement de bactéries bucco-dentaires (caries)

ALTERNATIVES AUX SUCRES RAFFINÉS

Sirop d’agave

La problématique du sirop d’agave est bien présente et j’en suis consciente. En effet, le sirop d’agave est un sucrant naturel extrêmement puissant. Là est donc le problème. L’extraction du sirop d’agave à une température trop élevée lui fait perdre en propriétés et monter son indice glycémique encore plus haut qu’il n’est déjà.

Notre sirop d’agave BIO & cru EATYA est extrait à froid à – de 41° pendant tout le processus, préservant toutes ses propriétés pour te proposer un produit de la meilleure qualité possible. Riche en minéraux (fer, calcium, potassium, magnésium).

Le tout est d’en consommer raisonnablement, comme tout sucre naturel il sera meilleur qu’un sucre raffiné.

Sirop d’érable

Extrait naturellement de la sève d’érable, le sirop d’érable est une alternative aux sucres raffinés plus spécifique par son goût particulier.
Le sirop d’agave est riche en minéraux (zinc, magnésium) et en vitamine B. Son fort pouvoir sucrant équivaut pour 50g à 100g de sucre classique.

Sirop ou crème de dattes

La crème de dattes est obtenue grâce à une recette traditionnelle préservant les nutriments et le goût des dattes.
Elle est un excellent sucrant naturel pour tes préparations sucrées et leur confère ce goût unique.

Sucre de coco

Le sucre de coco est extrait de la fleur de coco. Il est riche en antioxydants, il permet de lutter contre le vieillissement des cellules et de certaines maladies. Il est aussi riche en minéraux (zinc, fer, potassium, magnésium).
Le sucre de coco a un goût plus prononcé qui rappelle le caramel et quelques notes de vanille.

Sucre roux de canne non raffiné

Le sucre roux de canne non raffiné est l’alternative au sucre raffiné la plus répandue, riche en oligo-éléments, sels minéraux, vitamines, et acides aminés.

 

Tu peux retrouver notre sirop d’agave cru EATYA ainsi que notre crème de dattes BIO BioTamra sans sucres ajoutés sur notre e-shop vidya.shop, ou venir nous voir dans notre boutique à Bruxelles (60, Rue des Tanneurs, 1000 Bruxelles).

JOURNAL D’UNE SEMAINE SANS SUCRES RAFFINÉS

LUNDI : J-J.
Après m’être préparée mentalement tout le week-end, le grand jour est arrivé. Première étape, le petit-déj. Non pas que je ressente l’envie et le besoin tous les matins, comme par hasard aujourd’hui j’ai très faim. Mes yeux louchent sur le pot de confiture rhubarbe-abricot de ma grand-mère laissé au bureau… Divinement bonne, mais extrêmement sucré… On passe. Ma banane a donc un léger goût de frustration. Les heures passent et tout va plutôt bien jusqu’au premier message d’une amie : « Alors, tu tiens le coup ? » 1ère explosion de ma cervelle : un petit bonhomme me nargue par son regard et appuie sur le gros bouton rouge « SUCRE » dans mon cerveau… Je bois de l’eau 12.
2ème explosion : il fait chaud, mes collègues s’abandonnent à une douce glace crue et vegan en vente au magasin. « T’en veux ? » quasi persuadée que la compo est clean comme de l’eau de roche et… non. Frustration x 457, je mange une datte 12.

MARDI : J2.
Même sensation de faim du matin. Je trouve ça assez perturbant, mais les fruits sont de plus en plus gouteux et sucrés. La journée passe assez vite, je n’ai même pas l’impression d’avoir pensé à mon challenge. Je n’ai pas envie de sucre et je ne me sens pas frustrée, Happy Me !

MERCREDI : J3.
Cette nuit j’ai rêvé de cette tablette de chocolat violette bien connue dont je tairai le nom… Une seule pensée dans ma tête dès le réveil : donnez-moi du sucre 🤯.
Quand j’arrive au bureau, Ophélie aka Philie, notre petit rayon de soleil, nous a préparé une petite verrine citron-yaourt de coco sur son sablé croquant 🤤. Sablé = sucre raffiné… Je pèse le dilemme dans ma tête pendant quelques minutes en voyant mes collègues se délecter de ce mets délicieux. Je craque, je déguste, explosion de saveurs succulentes dans ma bouche et dans ma tête 🥰. J’ai craqué et tant pis, pas de place à la culpabilité.
Les dattes sont mes meilleures amies cette semaine, quand je sens que le bouton s’allume je déguste un bonbon naturel et la frustration s’efface.

JEUDI : J4.
Je vis plutôt bien ce challenge, malgré le « craquage » d’hier, j’ai la chance d’être dans la boutique et de pouvoir remplacer mes envies de sucres dégoûtants par de délicieux petits gâteaux crus et vegan à base de dattes ou autres sucrants naturels (de chez NatsRawline). J’ai pris le réflexe de manger des fruits et des dattes pour combler mes envies. Malgré quelques moments de frustration, le soir parfois, ou quand je vois les gens autour de moi consommer ce que j’appelle « mes vices », mais la charge mentale n’est pas aussi dure que je l’avais imaginé.

VENDREDI : J5.
Comme mardi, cette journée est passée extrêmement vite. Je n’ai pas eu le temps de penser à mon envie de sucre et je m’en porte très bien. Sauf qu’aujourd’hui, on est vendredi, et qui dit vendredi dit aller décompresser avec les copains. Grande amatrice de bières (avec modération, toujours), je commande instinctivement une bière en terrasse, bien méritée après cette belle semaine de boulot combinée à mon challenge. Et puis là, au bout de quelques gorgées, la pièce tombe 😅. Il y a du sucre dans la bière. Tant pis, j’ai envie de décompresser et de ne pas culpabiliser, et je suis fière de moi quand même.

SAMEDI : J6.
Petit-déj de week-end, j’avoue que j’aurais bien mangé un petit, tout petit croissant ou pain au chocolat. Mais tranquille, je pense au bonheur gustatif et mental qu’il me procurera quand j’aurai fini mon challenge, et comment j’en profiterai encore plus. Et puis les fruits sont tellement bons, je me délecte de pastèque, fraises et nectarines incroyablement sucrées comme j’aime 12.
Cet après-midi je suis invitée à l’anniversaire de la fille de Greg et Fati, et mes adorables patrons m’obligent (😂 joke) à manger du gâteau… Sucre miam miam, je profite de cette jolie fête et donc des moments de bonheur partagés. Toujours pas de place à la culpabilité.

DIMANCHE : J7, LAST DAY.
Dernier jour de cette semaine challengeante qui m’a fait sortir de mes mauvaises habitudes. Je fais un peu le point sur ma semaine, je me sens assez fière et je repense aux moments où je me suis « laissée aller ».
En analysant mes quelques moments de craquages, je me rends compte qu’ils sont associés à des moments de partages, des moments de joie avec des gens que j’aime, comme en célébrant l’amitié autour d’un verre, en profitant d’un petit déjeuner fait avec amour ou encore d’une fête d’anniversaire.
Je suis heureuse d’arriver à l’associer à un plaisir partagé, et de ne pas avoir cédé juste pour assouvir mes mauvaises habitudes.

CE QUE J’EN TIRE – RÉSULTATS – CONCLUSION

Comme je te disais au début de l’article, je me sentais vraiment aspirée par la spirale infernale du sucre industriel depuis quelque temps. Mon cerveau réclamait constamment sa récompense, et je cédais sans lutter. Après cette semaine, mon but n’était pas de pouvoir observer de changements physiques, je me doutais que ça ne serait pas suffisant. Pas de perte de poids, ni d’observation particulière sur la qualité de mon sommeil ou autre.
Je voulais simplement me prouver que j’en étais capable et je le suis. Je t’ai partagé mes réflexions du dernier jour de ce challenge, et à travers celles-ci j’ai vraiment tout gagné.
Pendant cette semaine, j’ai appris à apprécier à nouveau les alternatives à toutes les cochonneries que je peux consommer habituellement. Des fruits et fruits secs des délices sucrés qui font plaisir et donc la composition est ultra clean, prendre le temps de préparer de bonnes choses, réconfortantes et faites maison.

Je te le conseille vraiment, cette première étape me fait énormément de bien mentalement et m’a fait me reconnecter à des choses essentielles, comme les partages de la vie.

Si tu réalises ce challenge, on t’a déjà partagé des tas de recettes délicieusement gourmandes avec de super ingrédients qui font du bien à ton corps. Tu peux les retrouver dans la section recette sur le blog. Tu peux t’en inspirer pour combler tes fringales sucrées, et je te promets que la frustration restera bien loin de toi !

Si tu aimes ce type de challenge et que tu aimerais qu’on te fasse d’autre « on a testé pour toi », que tu as des idées, n’hésites pas à nous le dire en commentaires 🧡!

Le dico naturo : Le végétarisme est – il dangereux ?

Tous les mois, c’est notre rendez-vous “Le Dico Naturo” avec notre Naturopathe Fatima Khemar ! Une rubrique qui parle de naturopathie et plus largement de santé holistique. Cette rubrique est sous forme de dictionnaire, une sorte d’abécédaire de la naturopathie, pour qu’elle soit à la fois pédagogique et agréable à lire.⁠ A chaque fois, Fatima choisira un mot qu’elle développera sur Instagram et sur le blog. Si vous souhaitez participer à cette rubrique, n’hésitez pas à laisser en commentaire les sujets que vous souhaitez qu’elle aborde ! Aujourd’hui, pour ce 9ème billet, on parle de végétarisme/végétalisme !

Aujourd’hui, je réponds donc à une problématique délicate : peut-on tous être végét*iens ? Délicate car je sais combien c’est un sujet sensible et passionné pour beaucoup d’entre nous, quelque soit notre alimentation. C’est une question que l’on me pose souvent, et une problématique de santé assez fréquente que je rencontre en consultation.

Dans cet article, j’explique les cas ou le régime végéta*ien (végétarien & végétalien) n’est pas adapté. Attention, je ne dis pas que c’est ce type d’alimentation qui provoque ces pathologies, mais qu’il est un facteur aggravant quand on est atteint.es de ces dysfonctionnements/pathologies. Cet article n’est pas un texte “contre” quelque chose. C’est un texte que j’ai d’abord pensé et écrit à destination de toutes celles et ceux qui ont dû abandonner le régime vegeta*ien pour des raisons de santé après avoir tout essayé, j’espère qu’il pourra vous déculpabiliser ❤️

Végétarisme pour tous ?

On lit souvent que l’alimentation végéta*ienne présente certains risques de carences. Cette affirmation est souvent réfutée par les végéta*iens avec l’argument que la majorité des nutriments essentiels sont présents dans les végétaux. Effectivement, dans les végétaux, il y a certes beaucoup de vitamines et minéraux (fer, vitamine A, l’iode, les vitamines B9,D3, ect… mais sous une forme qui n’est pas directement et facilement assimilable. Notre corps doit d’abord les convertir pour pouvoir les assimiler. Contrairement aux nutriments contenus dans les produits animaux car l’animal a déjà fait le travail de transformation et de conversion pour rendre ces nutriments biodisponibles dans notre corps. Pour simplifier, manger des nutriments des animaux, c’est prendre un raccourcie : on assimile plus vite et plus facilement. Bien entendu, les êtres humains sont capables de faire ces conversions et transformations, et rendre les nutriments des végétaux biodisponibles. Mais nous ne sommes pas tous égaux face à cette capacité.

Pour être tout à fait clair : l’humain est parfaitement capable de manger végétarien, de digérer et d’assimiler les végétaux. Mais pour diverses raisons, cette capacité a nettement diminué. D’abord, nous sommes moins capables que nos ancêtres de faire ce travail de conversion et d’assimilation. Sans aucun doute à cause du mode de vie moderne (dans tout ce qu’il a de néfaste) qui a rendu nos métabolismes moins forts et donc moins efficaces. Aussi, la digestion humaine n’est pas aussi optimale qu’avant, les troubles et pathologies digestives augmentent, surtout chez les jeunes. Par ailleurs, nos aliments qu’ils soient biologiques ou non, sont moins riches en nutriments en comparaison avec l’époque ou l’agriculture intensive n’existait pas. Cela veut dire, que même si l’on mange à notre faim et que la nourriture est en abondance dans nos pays développés, on mange de moins bonne qualité et moins de nutriments ! Enfin, lorsqu’on a certains troubles / dysfonctionnements/pathologies, l’alimentation 100% végétarien n’est pas adaptée et peut être un facteur aggravant. C’est justement de cela que j’aimerai parler dans cet l’article.

Dans quel cas, le végétarisme n’est pas adaptée ?

En cas d’anémie

Encore une fois, ce n’est pas forcément le végétarisme ou le végétalisme qui cause l’anémie. Mais celle-ci peut être aggravée par ce type d’alimentation. Même si le fer se retrouve dans de nombreux végétaux et en grande quantité, c’est de sa forme que l’on parle ici. Le fer animal et le fer végétal n’ont pas la même structure et ne sont pas assimilés de la même manière. Le fer animal qu’on appelle aussi fer héminique est sous la forme réduite Fe2+ ou fer « ferreux ». Le fer végétal, nommé non héminique, est quant à lui sous la forme oxydée Fe3+ ou fer « ferrique ». Qu’est-ce que cela implique ? Pour vulgariser un maximum : l’absorption du fer se fait au niveau des cellules de l’intestin grêle qu’on appelle les entérocytes. Ces cellules possèdent un récepteur qui reconnait directement le complexe du fer ferreux, le fer d’origine animale. Son absorption dans les cellules se fait donc directement car il a ses propres récepteurs spécifiques. Pour ce qui est du fer ferrique, le fer végétal, il doit d’abord être réduit en fer ferreux. Ensuite, il est neutralisé par le mucus qui recouvre la paroi de l’intestin. C’est à ce moment-là qu’il peut être absorbé par les entérocytes, grâce à un transporteur. Cependant, de nombreux facteurs peuvent empêcher son absorption comme les anti-nutriments (phytates) ou les fibres. En effet, le fer peut se fixer sur les phytates et les fibres qui sont des éléments que nous n’assimilons pas et qui se retrouvent dans nos selles. Bien sûr, il y a de nombreuses manières d’éliminer les phytates des végétaux (comme le trempage des graines/légumineuses). Mais pour ce qui est des fibres, elles peuvent fixer le fer végétal et empêcher son absorption.
Lorsque l’on souffre d’anémie (omnivore ou végétarien/végétalien), on doit de toute façon se supplémenter mais aussi augmenter le fer dans notre alimentation, seulement dans ces cas de figures, les sources végétales ne sont pas suffisantes et efficaces.

En cas d’hypothyroïdie

L’hypothyroïdie est caractérisée par l’incapacité de la glande thyroïde à produire suffisamment d’hormones thyroïdiennes. La thyroïde est en quelque sorte l’organe chef-d ’orchestre qui permet à notre corps de réaliser la majorité de ses fonctions. Or, quand on souffre d’hypothyroïdie, on voit un ralentissement des grandes fonctions de l’organisme. Notamment la digestion, et ce quel que soit notre régime alimentaire. Mais, le régime vegeta*ien est particulièrement riche en fibres et de produits fermentescibles (que l’on trouve dans les fruits et légumes, légumineuses, céréales complètes). Dans le cas ou notre digestion est ralentie, cela va engendrer certains symptômes plus ou moins intenses comme le ventre gonflé et les ballonnements, mais cela peut aussi donner des crises de douleurs assez impressionnantes. Quand ces troubles digestifs (causés par l’hypothyroïdie par exemple) durent dans le temps, ils peuvent amener à un état inflammatoire qui va altérer les villosités de l’intestin et par conséquent, un manque d’absorption des nutriments, qui sera une source de carence.
Pour faire le lien avec la partie précédente sur le fer, sachez que l’anémie est un des facteurs importants de l’hypothyroïdie. Donc si vous souffrez de cette maladie, que vous êtes anémiés et avez des troubles digestifs, le régime 100% végétalien ne sera surement pas adapté tant que ces problématiques ne seront pas réglées.

En cas de colopathie fonctionnelle et de dysbiose

Comme je vous l’ai dit précédemment, un régime vegeta*ien est plus riche en fibres qu’un régime non végéta*ien. Surtout lorsque l’on cherche à avoir un régime vegeta*ien sain et équilibré, on va se tourner davantage vers les légumineuses pour avoir les portions de protéines nécessaires. Or, ce sont des aliments riches en fibres et qui fermentent beaucoup (même après trempage). Dans le cas de la colopathie fonctionnelle ou du syndrome de l’intestin irritable, ces fibres sont irritantes et abrasives. C’est d’ailleurs le cas le plus fréquent que je rencontre lors de mes consultations : comment allier un régime vegeta*ien à cette pathologie digestive. Malheureusement, quand les crises de douleurs sont fréquentes et intenses, réintégrer des produits animaux reste la meilleure solution temporaire pour calmer ces symptômes. Cette réalité est extrêmement difficile et douloureuse pour les personnes qui ont opté pour le régime vegeta*ien pour des raisons éthiques, car l’urgence de leur santé n’est pas en phase avec leur conviction. Aussi, lorsqu’on souffre de cette pathologie, on a déjà un régime alimentaire assez contraignant, de nombreux aliments sont à éviter pour ne pas provoquer de douleurs (comme les FODMAP). Composer ces assiettes en respectant régime anti inflammatoire et régime vege*ien peut devenir une vraie source de stress et une grande charge mentale, car cela représente beaucoup de contraintes ! Parfois, il est même nécessaire d’être accompagné par un psychologue pour aider à vivre cette situation complexe. Cependant, de nombreuses personnes ont pu retourner à une alimentation majoritairement végétale (avec comme pour seul produit animal, les œufs) après avoir soigné leur pathologie digestive.

Les pathologies digestives ont pour cause ou pour conséquence la dysbiose. C’est un déséquilibre de la biodiversité de notre flore intestinale qui se traduit par une diminution importante du nombre de bactéries présentes dans notre flore intestinale et une augmentation des mauvaises bactéries au détriment des bonnes bactéries. Or c’est grâce à notre flore bactérienne que l’on peut produire et assimiler les nutriments comme les vitamines B5, B8, B12, K, le fer et permettent aussi de dégrader les fibres non digestibles (cf paragraphe précédent). Pour diverses raisons, cette flore peut être altérée : génétique, traitements antibiotiques, stress, hygiène alimentaire ect…
Prenons l’exemple de la synthèse de la vitamine K2. C’est une vitamine indispensable pour la santé osseuse et dentaire. Elle participe aussi à la bonne santé cardio-vasculaire et à la sensibilité à l’insuline de nos cellules. La K2 est fabriquée par certaines espèce de bactéries présentes dans notre flore mais elle est aussi présente dans les produits animaux et dans le soja fermenté (contrairement à la vitamine K1 qu’on retrouve aussi dans les végétaux, particulièrement dans les légumes à feuilles vertes). Par conséquent, si notre flore est déficiente en bactéries synthétisant la vitamine K2 (par exemple après de longs traitements antibiotiques), et que l’on mange 100% végétale (et qu’on n’aime pas le soja fermenté !), il est fort probable d’être carencé en K2 et rencontrer certains problèmes comme des problèmes dentaires. En revanche, si le microbiote synthétise correctement et suffisamment de la K2, il est tout à fait possible d’avoir une alimentation 100% végétale.

– Lire notre article : Le Triphala pour la santé gastro-intestinale

Carence en Vitamine A

La vitamine A est importante pour la vision, le système immunitaire, la peau, la croissance et le développement de l’enfant. Elle est aussi vitale pour les fonctions reproductrices ! La vitamine A (rétinol) se retrouve uniquement dans les produits animaux. Dans les végétaux, c’est la pro vitamine A (bêta carotène ou caroténoïdes) qu’on retrouve. C’est le précurseur du rétinol. C’est dans notre intestin que ce bêta-carotène est converti en vitamine A pour ensuite être assimilé (sans cette conversion, notre corps ne peut pas l’absorber). La vitamine A animal quant à elle n’a pas besoin de cette étape de conversion.
Cette conversion de la provitamine A des végétaux est effectuée par l’enzyme bêta-carotène qu’on nomme la BCMO1 et qui permet donc de fabriquer de la vitamine A, le rétinol, à partir des végétaux. Seulement, nous ne sommes pas tous égaux face à cette conversion (comme pour le fer végétal) !
Et c’est du côté de la génétique que l’on a pu comprendre pourquoi. Certaines mutations génétiques peuvent affecter l’activité de l’enzyme qui convertie la provitamine A et empêcher cette étape nécessaire pour pouvoir absorber de la vitamine A. Mais il y a d’autre facteurs qui peuvent empêcher cette conversion, qui ne sont pas d’origine génétique comme l’hypothyroïdie, des troubles intestinaux (cf partie précédentes) et une carence en Zinc. Plus on accumule ces facteurs et moins nous pourront synthétiser de la vitamine A à partir de son précurseur végétal.
Bien entendu, si vous convertissez efficacement les caroténoïdes en vitamine A, vous pouvez sans problème avoir un régime végéta*ien. Dans le cas contraire, vous pourrez être carencés en vitamine A (même si vous augmentez l’apport en caroténoïdes).

En cas d’hypochlorhydrie

L’hypochlorurie est la diminution de la sécrétion d’acide chlorhydrique de la muqueuse de l’estomac. Ce dysfonctionnement peut être causé par plusieurs choses comme un manque de mastication, une alimentation trop cuite, un excès de protéines (animales et végétales), une hypothyroïdie (décidément cette thyroïde !), des carences en zinc et en sélénium ou un stress chronique. Mais il existe une autre cause à laquelle on ne pense pas souvent et qui nous intéresse ici : l’hypochlorhydrie peut apparaitre à l’arrêt des protéines animales. En effet, c’est grâce aux protéines que l’on peut produire de l’acide chloridrique : les protéines stimulent la gastrine, hormone qui active la sécrétion de l’acide chloridrique. Dans le cas d’un régime vegeta*ien mal mené (avec peu de protéines), il est probable que la sécrétion d’acide chloridrique soit diminuée. Alors, on pourrait se dire simplement « ok, il suffit donc de manger suffisamment de protéines végétales pour éviter ce problème ». Oui et non.
Pour certaines personnes, un bon apport de protéines complètes végétales suffirait amplement à produire suffisamment d’acide chloridrique. Mais pour d’autres personnes, ce sera plus difficile (génétique + hygiène de vie + problème de santé). En fait, « les acides forts » sont en majorité dans les produits animaux (c’est pour cette raison qu’on dit que la viande est acidifiante pour l’organisme). Et en cas d’hypochlorhydrie on manque justement de ces acides forts. Ce sont eux qui permettent de garder un pH faible (donc acide) dans l’estomac, indispensable pour digérer les aliments. En absence d’acides forts dans un terrain propice aux troubles digestifs, additionné à une alimentation riche en amidon (céréales, légumineuses, tubercules), le pH de l’estomac sera élevé (donc basique), les enzymes digestives ne peuvent pas être synthétisées et la digestion se fera donc difficilement.
Aussi, c’est grâce au pH acide que l’on peut synthétiser certaines molécules indispensables à l’assimilation des vitamines comme la vitamine B12. Pour que la vitamine B12 soit absorbée, elle a besoin de se fixer à une molécule appelée « facteur intrinsèque ». Cette molécule est sécrétée dans l’estomac. En se fixant à la B12, elle permet son absorption dans l’intestin grêle. Mais pour cette fixation puisse se faire, le milieu de l’estomac doit être suffisamment acide.
Il est important de préciser que l’hypochlorhydrie ne touche pas que les végéta*ien ! Nombreux sont les omnivores qui souffrent de ce trouble. Ce que je dis, c’est que l’hypochlorhydrie est souvent aggravée par un régime végéta*ien.

Voici donc les cas principaux ou je ne conseille pas le végétarisme / végétalisme.

– Nos compléments alimentaires

Pourquoi je me sens mieux depuis que je mange végétarien ?

Encore une fois, il est tout à fait possible de d’opter pour le végétarisme tout en étant en bonne santé. Si vous avez une bonne vitalité, si vous n’avez pas de problème de santé notamment ceux que j’ai cité dans l’article, si vous n’êtes pas carencé et surtout si vous avez une bonne santé intestinale, il est normal que vous vous sentiez mieux avec ce type d’alimentation.
Aussi, les vegeta*iens ont majoritairement une meilleure hygiène de vie que lorsqu’ils étaient omnivores (je ne parle pas du végétarisme industriel). C’est donc tout à fait normal de se sentir mieux en optant pour cette hygiène de vie. Cependant, les problématiques que je vous ai présentées dans cet article se manifestent rarement la première année du végétarisme/végétalisme. Ces manifestions prennent plusieurs mois ou années pour se révéler car il faut du temps à notre corps pour essayer de s’adapter à ces changements et pour écouler toutes ses réserves de nutriments.

Je veux adopter le végétarisme sans risque pour ma santé

Au-delà des cas que je vous ai énoncé précédemment, il y a une problématique très fréquente qui peut mettre à mal ce régime alimentaire : le changement brutal. Plus le changement alimentaire est rapide (vers le végétarisme ou tout autre régime d’ailleurs) et plus le risque de complication sera élevé. D’ailleurs, on remarque qu’une personne qui a toujours été dans le végétarisme depuis la naissance, aura moins de difficulté contrairement à une personne ayant transitionnée brusquement vers le végétarisme. Le premier conseil basique est donc d’y aller progressivement, d’offrir à votre corps le temps qu’il faut pour s’adapter à cette nouveauté.

Pour conclure : ce n’est plus à prouver, le végétarisme / végétalisme bien mené fonctionne sur beaucoup de personnes. Mais pour d’autres ayant certains dysfonctionnements et certaines pathologies, le régime végétarien et végétalien n’est pas adapté, ce qui ne veut pas dire qu’elles ne peuvent pas mettre plus de végétal dans leurs assiettes et diminuer la viande 😉

Sources :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19103647/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23378454/
https://academic.oup.com/jn/article/137/11/2346/4664482
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22113863/
https://academic.oup.com/jid/article-abstract/150/2/213/833775
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7895417/
https://academic.oup.com/ajcn/article/102/1/84/4564348

Les remèdes ayurvédiques : le Triphala pour votre santé gastro-intestinale

Peu importe ce que l’on peut en dire, l’être humain est constitué pour consommer et digérer les végétaux, mais on sait que, vu leur état, ce régime n’est pas toujours tendre avec les intestins fragilisés par nos modes de vie moderne. L’alimentation végétarienne est plus riche en fibres que l’alimentation non végétarienne. Si ces fibres font leur travail de balai intestinal chez les personnes ayant une bonne santé digestive, elles peuvent être une plaie pour celles qui souffrent de dysbiose ou d’autres pathologies digestives. Si tu veux introduire plus de végétal dans ton assiette sans t’éclater les entrailles, le Triphala est sûrement un bon allié ! C’est l’une des formules les plus importantes de la médecine ayurvédique, composée de 3 superfruits !

DECOUVRE NOTRE COMPLEMENT ALIMENTAIRE TRIPHALA

triphala

Composition du Triphala

Cette formule ayurvédique est composée de 3 superfruits :
– L’Amalaki est un véritable soutien au système digestif car il est alcalinisant : il rééquilibre la production d’acide gastrique qui améliore la digestion et l’absorption des nutriments.
– Le Bibhitaki est un laxatif naturel et un puissant antibactérien efficace pour lutter contre la constipation.
– L’Haritaki contient de l’acide chébulique qui est un agent détoxifiant pour le côlon et un antispasmodique permettant de lutter contre les douleurs abdominales.

Bienfaits du Triphala

Le Triphala est un complément alimentaire, éprouvé par des siècles d’usage en Inde, idéal pour les personnes qui désirent améliorer leur santé gastro-intestinale globale, pratiquer un nettoyage du côlon doux et progressif, mais aussi pour les personnes sujettes aux désordres gastro-intestinaux, à l’acidité et à la constipation.

Sa concentration importante en antioxydants et en vitamine C, dont les bioflavonoïdes, en fait un incontournable en matière de rajeunissement profond de l’organisme ainsi qu’un tonique pour la santé globale.

Le Tripahala permet de :

– Freiner les radicaux libres responsables de la dégénérescence de nos cellules,
– Rajeunir le système digestif,
– Soutenir une fonction hépatique saine,
– Renforcer le système immunitaire et répondre efficacement aux inflammations,
– D’aider la digestion en soutenant et nettoyant tout le tractus gastro-intestinal,
– Réguler le transit intestinal,
– Optimiser l’élimination et l’assimilation des nutriments,
– Nettoyer le côlon,
– Favoriser un milieu alcalin.

Notre Triphala Organic India

Notre Triphala est composé à 100% de plantes bio, réduites en poudre et encapsulées de la marque Organic India. Des plantes cueillies à la main séchées à basse température dans des conditions éthiques et équitables afin de te garantir la meilleure efficacité ! Tu peux retrouver tous nos compléments alimentaires ORGANIC INDIA sur notre site vidya.shop.

Si tu as aimé cet article, n’hésite pas à nous laisser un commentaire !

Prend soin de toi 🧡

Infusion glacée au Tulsi Lemon&Ginger Organic India

TULSINADE LEMON&GINGER

Avec ces beaux jours et les chaleurs qui nous font du bien mais, entre nous, qui nous assomment pas mal aussi (mais promis, on ne s’en plaint pas 😄!), je me suis dit que c’était le temps rêvé pour te proposer une petite recette d’infusion glacée ultra rafraichissante : La Tulsinade Lemon&Ginger !

Cette infusion glacée, je la réalise avec le Tulsi Lemon&Ginger en vrac de chez Organic India. Pour ceux qui aiment sucrer un peu, j’utilise notre sirop d’agave cru et extrait à froid EATYA. Et pour une boisson saine et purifiée, je te recommande d’utiliser de l’eau Osmosée grâce à notre Osmoseur Origine Zen&Pur.

Tulsinade Lemon&Ginger

ZOOM SUR LE TULSI

Le Tulsi est une plante très utilisée dans la médecine Ayurvédique, et considérée en Inde comme l’une des plantes adaptogènes les plus puissante au monde. On l’appelle aussi le Basilic Sacré, la Reine des Herbes, Mère Médecine de la Nature ou encore l’Incomparable.

Le Tulsi fait partie de la famille des Lamiacae, tout comme le basilique aromatique classique, mais leurs similitudes ne vont pas plus loin. Le Basilique Sacré n’a pas du tout le même goût ni la même utilisation.

Une plante adaptogène est une plante qui a des propriétés calmantes, qui augmente la résistance au stress, détoxifiante, adoucissante et rafraichissante.

Pour retrouver tous les bienfaits et utilisations du Tulsi, tu peux aller lire l’article complet sur le blog.

Associée au gingembre et au citron, l’infusion Tulsi Lemon&Ginger consommée glacée est un puissant désaltérant en plus des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, qui soulage les troubles digestifs et plus encore.

Pour retrouver l’infusion Tulsi Lemon&Ginger Organic India, c’est sur notre E-SHOP vidya.shop que ça se passe, ou bien tu peux passer dans notre boutique à Bruxelles !

ZOOM SUR L’OSMOSEUR

Notre Osmoseur domestique Origine est conçu pour filtrer l’eau dans un usage quotidien grâce à un système de filtration en osmose inversée.

L’Osmoseur Origine Zen&Pur offre :

Une eau parfaitement purifiée, son filtre Origine débarrasse parfaitement l’eau de tous métaux lourds, médicaments, hormones, fluor, chlore, aluminium

• Le choix entre 4 températures instantanées : chaleur ambiante, 65°, 85° et 100°.

L’élimination du calcaire pour alléger les reins.

• Une économie de plastique non discutable.

• Un réservoir de 5L. l’Osmoseur purifie directement 1,5L d’eau.

• La possibilité de cuisiner en grande quantité avec de l’eau clean de chez clean.

Un article entièrement dédié à l’Osmoseur Origine est disponible juste ici 👉🏽 https://vidya.bio/losmose-inverse/

Tu peux aussi lire le retour d’expérience de Take it Green qui utilise notre Osmoseur Origine : Mon avis sur l’Osmoseur de Zen&Pur.

Et si tu es déjà conquis, tu peux acheter l’Osmoseur Origine Zen&Pur sur notre E-SHOP vidya.shop ou passer nous dire bonjour dans notre boutique à Bruxelles (paiement 3x sans frais possible).

Tulsinade Lemon&Ginger

INGRÉDIENTS (POUR 1L D’INFUSION GLACÉE)

PRÉPARATION

1/ Infuser le Tulsi Lemon&Ginger dans 50CL d’eau chaude à 100° pendant 20 à 30 minutes. Il est également possible de laisser infuser toute une nuit à froid.
2/ Filtrez l’infusion et ajouter 50cl d’eau froide ou à température ambiante, ajouter les glaçons ainsi que la menthe et le citron.
3/ Pour les adeptes du sucré, ajoutez une cuillère à soupe de sirop d’agave cru EATYA, et dégustez bien frais !

Tulsinade Lemon&Ginger

Infusion glacée au Tulsi Gingembre et Citron
Type de plat Boissons

Ingrédients
  

  • 15 gr infusion en vrac Tulsi Lemon&Ginger
  • 1 L eau Osmosée
  • 1 c. à soupe sirop d'agave cru EATYA
  • Menthe et rondelles de citron
  • Glaçons

Instructions
 

  • Infuser le Tulsi Lemon&Ginger dans 50CL d’eau chaude à 100° pendant 20 à 30 minutes. Il est également possible de laisser infuser toute une nuit à froid.
  • Filtrez l'infusion et ajouter 50cl d’eau froide ou à température ambiante, ajouter les glaçons ainsi que la menthe et le citron.
  • Pour les adeptes du sucré, ajouter une cuillère à soupe de sirop d’agave cru EATYA, et déguster bien frais !
Keyword alimentation vivante, théglacé, tulsi
Tried this recipe?Let us know how it was!

Si cette recette t’as plu ou si tu la réalise, n’hésite pas à nous laisser un commentaire !

L’huile de ricin: quels bienfaits ?

Un peu d’histoire…

L’huile de ricin est une huile extraite des graines de ricin, produites par la plante originaire d’Afrique tropicale.
L’utilisation de cette huile remonte à loin : vers -4000 avant J.-C., elle était utilisée par les Egyptiens. Certains témoignages racontent qu’elle était utilisée par Cléopâtre elle-même. Cette huile était déjà également connue pour ses propriétés laxatives puisqu’on les retrouve dans l’Ebers Papyrus, un des plus anciens traités médicaux qui date d’environ 1550 ans avec J.-C.
En Inde, elle est également utilisée depuis des centaines de milliers d’années. Elle était d’abord utilisée comme combustible dans les lampes à l’huile. Elle a ensuite été considérée dans la médecine ayurvédique comme un remède puissant contre les maladies arthritiques.

Une huile bienfaisante

L’huile de ricin est connue pour ses nombreux bienfaits : riche en oméga 9 et contenant de la vitamine E, elle est très utile en soin beauté autant que pour guérir certains maux. Elle a également des puissantes propriétés anti-inflammatoires et antibactériennes.

En soin beauté, elle fortifie et fait repousser les cheveux, répare les ongles cassants, permet également de rendre les cils et les sourcils plus résistants. Très hydratante et grâce à sa teneur en acides gras, elle permet aussi de servir de crème pour le visage car elle protège et adoucit la peau. C’est donc un outil utile pour réparer les peaux sèches ou les ezcémas. On lui trouverait aussi des vertus pour atténuer les rides et pour éliminer l’acné grâce à l’acide ricinoléique qu’elle contient.
Grâce à ses propriétés antibactériennes, elle permet de soigner les coupures, les éraflures et les tâches de vieillesse et de calmer les douleurs.

Autres vertus

Pour ses autres vertus, l’huile de ricin permet de soigner la constipation. Connue pour ses effets laxatifs depuis de nombreuses années, l’huile peut être utilisée par voie orale pour lutter contre la constipation. Ses pouvoirs laxatifs étant assez puissants, il est recommandé de ne l’utiliser par voie orale que par recommandation de son médecin.
Ses propriétés anti-inflammatoires permettent également de soulager l’arthrose, les douleurs musculaires et les inflammations des nerfs.
Elle permet aussi de drainer le surplus de liquide du foie et du système lymphatique, ce qui soulage les douleurs de foie.

Selon une étude, elle renforcerait le système immunitaire car elle permet d’augmenter le taux de globules blancs dans le sang. William Mcgarey, médecin américain a écrit le livre ‘’The Oil That Heals’’ (‘’l’huile qui guérit ’’). Il a étudié le phénomène et a découvert lors d’études que les patients qui utilisaient des cataplasmes d’huiles de ricin produisaient beaucoup plus de lymphocytes que les autres qui utilisaient des cataplasmes placébo. Plus on a un taux élevé de lymphocytes dans notre corps, plus les toxines sont éliminées rapidement. Cette huile aide donc à guérir ou à éloigner la maladie.

Précautions à connaître avant d’utiliser l’huile de ricin

Si l’huile de ricin a de nombreuses qualités, la graine de ricin secrète de la ricine. Une toxine puissante qui, ingérée, tue les cellules vivantes et est donc mortelle.

Mais l’huile ne contient aucune ricine, évidemment mais elle peut amener des effets secondaires: l’acide ricinoléique qu’elle contient va déclencher une action laxative très puissante. C’est cet effet qui va aider le corps à nettoyer le système lymphatique (purge). Mais ne faites pas de purge de ricin si vous avez une faible vitalité.

Elle est donc un outil paré de nombreuses vertus mais attention : même si de nombreux témoignages rapportent ses qualités et ses bienfaits, peu d’études ont été faîtes sur le sujet, il faut donc l’utiliser avec précaution (consultez un naturopathe qualifié).

Pour continuer la lecture sur l’huile de ricin:

– La purge à l’huile de ricin : mise en pratique, observation et conséquence, par Adrien Ruet

– LA PURGE À L’HUILE DE RICIN (AVEC AVIS ET TEMOIGNAGES), par Estelle Sovanna

Sources:

 

Lait d’Or ou Golden Milk : La boisson anti – inflammatoire

Aujourd’hui, je te parle du Lait d’Or également appelé Golden Milk en anglishe et je partage avec toi ma recette ! Cette délicieuse boisson chaude qui réchauffe l’âme est l’arme fatale pour booster tes réserves immunitaires et contrer la morosité de saison, une source de bienfaits dont je te parle plus bas !  Le lait d’or est une boisson ayurvédique ancestrale aux propriétés anti-inflammatoire. Cette recette ayurvédique vieille de 5000 ans est un mélange d’aliments gras : lait, huile et d’épices : curcuma, poivre, gingembre.

Les propriétés anti-inflammatoire du lait d’or

Grâce au curcuma cette boisson ayurvédique a des actions :

– anti – inflammatoire

– lubrifiante et soutien les articulations

– drainante sur le foie,

– apaisante sur le système nerveux

De plus , la curcumine du curcuma participe à la régénération du cerveau et une amélioration de la circulation sanguine.

Découvrez notre lexique des vertus thérapeutiques des plantes et épices

  anti-inflammatoire

Pour bénéficier des vertus anti-inflammatoire de la curcumine, il faut la consommer avec :

– du poivre, car la pipérine permet de maximiser les propriétés de la curcumine.
– le gingembre, agit en synergie avec la curcumine pour une meilleure absorption et assimilation.
– un corps gras : lait et huile, la curcumine étant liposoluble, elle ne se dilue que dans un corps gras.

La règle du 9 – 5 – 1

Pour optimiser davantage les effets anti – inflammatoire du curcuma, les proportions de chaque épices est très importante:

– 9 portions de curcuma

– 5 portions de gingembre

– 1 portion de poivre

Une portion peut être une cuillère à café, une cuillère à soupe, un bol, ou 100g, peu importe ! L’essentiel est de respecter ces proportions.

Astuces

1/ Pour diminuer le goût du curcuma, vous pouvez ajouter un filet de jus de citron dans votre boisson. L’acidité du citron coupe le goût prononcé de la boisson.

2/ Vous pouvez ajoutez d’autre épices comme la cannelle et la cardamome, qui apportent ce supplément de douceur et de chaleur sans compter leurs innombrables qualités (antioxydantes, anti-inflammatoires, rempart contre le diabète de type 2, antiseptiques, sources de calcium et de magnésium, vitamine B2 et B6)

2/ Pour une boisson onctueuse et crémeuse, vous pouvez ajouter un peu de crème de coco comme corps gras (à la place de l’huile végétale). La boisson sera aussi rassasiante !

3/ Si vous souhaitez une mousse de lait, vous pouvez prélever un peu de lait chaud et le faire mousser à l’aide d’un blender avant de l’ajouter sur votre lait d’or .

anti-inflammatoire

Recette du Golden Milk

Si vous réalisez cette recette, n’hésitez pas à nous laissez votre retour en commentaire❤️

Le sucre, un poison addictif

Aujourd’hui, il ne fait plus débat que le sucre est un poison addictif. Ajouté dans de nombreux plats, il peut être nocif pour la santé si il est consommé en grandes quantités. Le problème ? Il s’immisce partout, même où on ne l’attendrait pas.

Le sucre est une substance à la base extraite de plantes (Canne à sucre ou betterave) qu’on appelle alors saccharose. C’est la première catégorie de sucre, les sucres simples.
On retrouve des différentes variétés de ce sucre : le sucre blanc contenant presque 100% de saccharose ; le sucre roux qui conserve des vitamines et des minéraux dans la mélasse ; du sucre glace, sucre cristallisé ; du sucre blond contenant, lui, moins de mélasse ou encore la cassonade, un sucre roux issu de la canne à sucre.

En catégorie 2, on retrouve les sucres complexes (les amidons) que l’on trouve dans le pain et les céréales et en catégorie 3, les fibres alimentaires.
Les dangers ne concernent que la consommation du sucre de catégorie 1, à savoir les sucres simples.

On le sait depuis longtemps, l’abus de sucre peut provoquer de l’obésité et du diabète. Mais les nombreuses études commandées par l’industrie agroalimentaire essayant de cacher ou de détourner le danger que provoquent ces sucres simples ont noyé les études prouvant ce danger.

Un problème de santé mentale

Néanmoins, une récente étude britannique a été publiée dans le journal ‘’Scientific Reports’’. De cette étude, les chercheurs ont tentés de voir si on pouvait faire un lien entre la consommation de sucres et les maladies mentales.
Il en ressort que ‘’les hommes consommant plus de 67 grammes de sucres par jour avaient 23% de risque en plus de développer des troubles mentaux après 5 ans par rapport aux hommes présentant une consommation quotidienne de sucres plus faible (moins de 39.5 grammes par jour). Les résultats demeurent après prise en compte de nombreux biais éventuels comme des critères sociaux démographiques, d’autres facteurs diététiques et la présence d’autres problèmes de santé.’’
(https://www.sante-sur-le-net.com)
Les chercheurs donnent comme conclusion qu’une consommation excessive de sucre amènerait à des troubles mentaux et que la diminution de cette consommation améliorerait l’état psychologique.

Un déclin cognitif

Une autre récente étude publiée dans le magazine Diabetologia est d’autant plus alarmante. Les résultats montrent un lien direct entre les taux d’HbA1c (la concentration moyenne de sucre dans le sang) et les troubles cognitifs. On y apprend donc qu’un taux élevé de sucre dans le sang provoquerait un déclin cognitif. Donc on plus aurait de sucres dans le sang, plus notre déclin cognitif serait rapide.

Des risques de cancer

Les chercheurs belges Johan Thevelein, Wim Versées et Veerle Janssens ont découvert comment l’effet Warburg, un phénomène dans lequel les cellules cancéreuses décomposent rapidement les sucres, stimule la croissance tumorale. Ce résultat est important car il va permettre de réaliser davantage d’études sur le sujet grâce à cette corrélation découverte entre le sucre et le cancer.

Un danger sous silence

Malheureusement, l’industrie du sucre est prête à payer le silence de ceux qui pourrait dénoncer le danger que le sucre occasionne réellement. En 1964, trois scientifiques de l’Université Harvard ont été payés chacun 6500 dollars afin de publier des travaux dénoncer les méfaits du gras sur le coeur pour ainsi détourner la chercheur ailleurs que sur le sucre. Malin mais dangereux.
Coca Cola vend 1,8 milliards de boissons par jour dans plus de 200 pays du monde. Comment expliquer que malgré le danger avéré du sucre, des multinationales comme Coca Cola continue de vendre ses produits en sachant qu’une cannette de coca contient environ 7 morceaux de sucres ?
Un double lobbying est malheureusement en grande partie en cause. En effet, pour l’industrie agroalimentaire et pour les laboratoires pharmaceutiques, ces sodas sont un marché très lucratif. Ils auraient beaucoup à perdre si ceux-ci ne venaient à ne plus se vendre… ‘’ Selon le registre européen des lobbys, Coca-Cola a dépensé plus de 670 000 euros en lobbying en 2016.’’(…) Les données publiées par l’Assurance-maladie et analysées par Le Monde révèlent que la facture pour les antidiabétiques s’est élevée à 1,3 milliard d’euros en 2016. (Source : multinationales.org)
On peut aisément comprendre pourquoi ces sodas continuent à se vendre.
Prévention

Depuis 2015, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de limiter la consommation de sucres libres dans les aliments à moins de 10 % de la ration énergétique journalière, soit 50 grammes de sucre correspondant à 8 morceaux, donc 12 cuillères à café de sucre. Mais cette recommandation semble être une goûte d’eau dans l’océan face à l’urgence du danger sanitaire que le sucre pouvait provoquer chez l’Homme.

Le sucre, on le consomme tout le temps sans s’en rendre compte. Par exemple, on le retrouve dans des aliments pourtant ‘’salés’’ comme le ketchup, les plats préparés, le vinaigre, les soupes de supermarchés, les biscuits apéritifs,… Et ils sont en encore plus grande quantité dans des aliments sucrés. Une cuillère à café de sucre correspondant à 4 grammes de sucre, moins de deux cannettes de coca dépasseraient la dose limite de 50 grammes recommandée par l’OMS.

Le mieux serait donc de se référencer aux taux de sucres présents dans les aliments pour ainsi choisir des aliments contenant moins de mauvais sucre. Il est également conseillé de privilégier les aliments naturels et bios et d’éviter les plats préparés et les aliments transformés.

 

Sources :

Huile de coco : la nouvelle huile miraculeuse ?

Depuis quelques temps, l’huile de coco fait beaucoup parler d’elle. On la voit partout et on entend de tout sur ses éventuels bienfaits et vertus sans vraiment savoir si ceux ci sont fondés. Mais qu’est ce que l’huile de coco et quels sont véritablement ses bienfaits ?

Originaire d’Asie du Sud et de la Polynésie, l’huile de coco est depuis longtemps utilisée partout dans le Monde pour ses bienfaits cosmétiques, culinaires ou médicinaux.

UTILE POUR PERDRE DU POIDS

L’huile de coco est issue de la noix de coco dont on presse la chair fraîche. Plusieurs études menées par des chercheurs révèlent que composée de trois sortes d’acides gras : l’acide laurique, caprique et caprylique, appelés acides gras à chaîne moyenne (MCFA) ou triglycérides, elle permet de perdre du poids. En effet, ces acides gras sont faciles à brûler lors de l’exercice. (Une de ces études)
Il est également prouvé que l’acide laurique, contenue dans l’huile de coco, est semblable aux graisses contenues dans le lait maternel et qu’il possède donc des effets nutraceutiques comme c’est le cas du lait maternel.
Cela dit, ces graisses ne sont pas forcément que bienfaisantes car une étude américaine de l’Association américaine de cardiologie publiée par USA Today révèle que l’huile de coco serait aussi néfaste que le beurre à cause du fort taux de graisse qu’elle contient. Il faudrait donc avoir la main légère sur sa consommation par voie orale afin d’éviter le côté nocif de ces graisses.

IDÉALE POUR LA PEAU ET LES CHEVEUX

Cette huile s’absorbe facilement par la peau et par les cheveux. Très hydratante, elle a une action relipidante sur la peau ce qui en fait une bonne crème hydratante.
Contenant de la vitamine A et E, ses propriétés antioxydantes et antibactériennes, en plus de booster le système immunitaire, forment des vertus très utiles pour le bien être de la peau et des cheveux.
Selon une étude comparant l’huile de coco à d’autres huiles, elle aurait des meilleurs bienfaits sur les cheveux que l’huile de tournesol ou l’huile minérale. En effet, seule l’huile de coco aurait une action aussi bien sur les cheveux sains que sur les cheveux abimés. L’acide laurique contenu dans l’huile de coco permet une forte pénétration à l’intérieur du cheveu contrairement aux deux autres huiles analysées. Elle nourrit et répare donc les cheveux intensément.

Pour la peau, une étude a prouvé que ses bienfaits sur la peau égalaient celles de la paraffine. Elle a un pouvoir hydratant très puissant et permet de lutter contre la sècheresse et l’eczéma. En plus de cela, contrairement à la paraffine, l’huile de coco n’empêche pas la peau de travailler par elle-même ne la rendant ainsi pas dépendante de l’huile. Elle permet également de calmer les rougeurs et les brûlures dues par exemple aux coups de soleil.

PRATIQUE EN CUISINE

En cuisine, la particularité de cette huile est qu’elle supporte les fortes températures. Cela veut dire qu’elle peut être cuite sans devenir toxique. Elle a également un apport nutritionnel assez faible ce qui la rend moins calorique que le beurre.

Egalement, la consommation de cette huile augmenterait notre tolérance au glucose et améliorerait notre sensibilité à l’insuline grâce aux triglycérides qui y sont contenues et une étude aurait prouvé que la consommation de ces triglycérides à chaîne moyenne conduirait à une amélioration de la fonction cérébrale chez des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Pour bénéficier au maximum de ses bienfaits, il faut privilégier une huile de coco vierge et bio, pressée à froid. De cette façon, vous êtes sûrs de bénéficier d’une huile ayant gardé ses bienfaits nutritifs et sans ajouts d’éléments chimiques nocifs pour la santé.

Sources:

https://www.sante-nutrition.org/40-utilisations-bienfaits-lhuile-noix-coco/

https://www.sante-nutrition.org/une-etude-scientifique-revele-que-consommer-de-lhuile-de-noix-de-coco-quotidiennement-conduit-a-une-reduction-du-tour-de-taille/

https://link.springer.com/article/10.1007/s11745-010-3418-z

http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/35584/4-bienfaits-huile-coco

https://crudessence.com/blogue/bien-manger/lhuile-de-coco-un-gras-dangereux-ou-benefique/

https://www.lci.fr/sante/l-huile-de-noix-de-coco-serait-mauvaise-pour-la-sante-selon-une-etude-americaine-2055991.html

Découvrez les Extraordinaires Bienfaits de l’Huile de Coco (cheveux, peau,..)
https://www.oleassence.fr/bienfaits-huile-de-coco-cheveu

https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=guide-pratique-huiles-vegetales-p5

Les nanoparticules

Les nanoparticules sont des molécules dont la taille varie entre 1 et 100 nanomètres. Elles sont plus petites qu’une cellule. Il y a deux types de nanoparticules. Les nanoparticules dites ‘’ élaborées’’ qui sont fabriquées artificiellement et les ‘’émissions secondaires’’ qui naissent d’une réaction comme par exemple les particules que l’on retrouve dans la fumée de cigarette.

A QUOI SERVENT-ELLES ?

Les nanoparticules ont des propriétés physico-chimiques particulières. Celles-ci ont une plus grande surface spécifique que les particules classiques. Elles sont donc plus réactives, d’où leur importance.
Elles se retrouvent donc dans notre quotidien sous forme de poudre, de gel ou de solutions, un peu partout, que ce soit en cosmétique, dans l’automobile, l’électronique, la pharmacie ou encore et surtout dans l’agroalimentaire.

Dans l’alimentation, elles sont utilisées soit dans les aliments eux-mêmes, comme par exemple dans les bonbons mais aussi dans leurs emballages. Ils sont utilisés car ils sont avantageux : Le dioxyde de titane par exemple, sert à blanchir les confiseries et les gâteaux et le dioxyde de silicium, lui, sert d’agent anti-agglomérant pour les aliments comme le sel et le sucre.
Les nanoparticules permettent également de garantir une meilleure qualité des emballages.

UTILITÉ DANGEREUSE

Malgré son utilité avérée, des études ont prouvé que ces nanoparticules pouvaient s’avérer dangereuses. En effet, selon l’ANSES (l’Agence nationale de sécurité sanitaire) les nanoparticules auraient des effets cancérogènes, toxicologiques et un impact sur le système nerveux. Malheureusement, il y a, à ce jour, peu d’études pouvant révéler les effets néfastes de ces nanoparticules. Il est donc difficile d’arriver à les interdire et à limiter leur utilisation dans les produits que nous consommons. Il a cependant été prouvé que ces nanoparticules ingérées pouvaient traverser les barrières physiologiques de notre corps. Ce qui peut avoir des conséquences désastreuses sur notre santé.

Ils pourraient selon une étude avoir des effets entérotoxiques, cytotoxiques, génotoxiques, reprotoxiques et immunotoxiques :

L’entérotoxicité concerne tout ce qui touche au système digestif et à ses troubles.
La cystotoxicité touche les cellules et révèle la toxicité d’une substance (c’est le cas ici des nanoparticues) sur ces cellules qui peut les endommager.
La génotoxicité concerne l’endommagement de l’information génétique au sein d’une cellule. Cela peut provoquer des mutations dans l’ADN.
La reprotoxicité concerne toute toxicité touchant à la fertilité masculine ou féminine mais également au développement de l’enfant.
Enfin, l’immunotoxicité touche le système immunitaire.

QUE FAIRE POUR LUTTER CONTRE CES NANOPARTICULES ?

Le point positif est que depuis 2013, les produits cosmétiques et alimentaires contenant des nanomatériaux doivent être étiquetés dans l’Union européenne. Il doit être indiqué le terme ‘’nano’’ juste après le nom de l’ingrédient.
Il suffit juste de jeter un œil sur les ingrédients des produits pour ainsi éviter de consommer ceux pouvant contenir des nanoparticules.
Malheureusement, ce règlement n’est pas forcément respecté.

Comme alternative, on peut donc s’armer de la liste des ces fameuses nanoparticules quand on se rend au magasin afin d’éviter d’en ramener chez nous.
Plusieurs listes sont disponibles sur internet, comme c’est le cas sur le site de l’équipe d’Avicenn.
Au niveau cosmétique, une liste a été publiée que le site de la commission européenne.
L’idée serait de retenir quelques noms de nanoparticules afin d’avoir le reflexe de les éviter.
Les plus présents sur le marché, se retrouvent sur les étiquettes sous les appellations E171 (pour le dioxyde de titane) et E551 (pour le dioxyde de silicum).

Sources:

http://controverses.mines-paristech.fr/public/promo16/promo16_G14/www.controverses-minesparistech-3.fr/_groupe14/accueil/a-quoi-servent-les-nanoparticules/index.html

http://www.inrs.fr/risques/nanomateriaux/terminologie-definition.html

http://www.novethic.fr/lexique/detail/nanoparticules.html

http://controverses.mines-paristech.fr/public/promo16/promo16_G14/www.controverses-minesparistech-3.fr/_groupe14/accueil/les-nombreux-risques-des-nanoparticules-sont-elles-dangereuses/index.html

https://www.francetvinfo.fr/sante/alimentation/l-article-a-lire-sur-les-nanoparticules-ces-petits-additifs-caches-dans-les-produits-du-quotidien_2340221.html

http://veillenanos.fr/wakka.php?wiki=RecensementsProduitsNano

http://ec.europa.eu/DocsRoom/documents/24521

Les additifs alimentaires

LES ADDITIFS ALIMENTAIRES, QU’EST CE QUE C’EST?

Les additifs alimentaires sont des substances ajoutées en petites quantités aux aliments industriels que nous consommons pour améliorer leur saveur, leur texture et leur apparence.

Il y a plusieurs groupes d’additifs alimentaires. On retrouve :

Certains de ces additifs sont malheureusement dangereux pour la santé. Pour démêler le faux du vrai, Thierry Souccar a écrit un livre intitulé ‘’ Le nouveau guide des additifs alimentaires’’ recensant les différents additifs alimentaires et leurs effets.
L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) réévalue régulièrement les additifs en analysant leur toxicité par une étude toxicologique et en les soumettant à des critères de pureté. Leurs doses journalières admissibles sont fixées en fonction des études publiées sur le sujet.
Ces additifs sont également réglementés au niveau européen par une liste. Seuls les additifs repris dans cette liste sont autorisés à la consommation. Les additifs doivent impérativement se retrouver sur les étiquettes des aliments en sont composés par une référence commençant par la lettre E suivi des chiffres de cet additif ou par le nom de ce même additif. (Exemple E441 ou gélatine)

QUELLES SOLUTIONS POUR LES ÉVITER ?

Il faut d’abord bien évidemment différencier les bons des mauvais additifs alimentaires. Pour cela, il suffit de se référer aux listes que l’on trouve un peu partout sur internet.
Cette liste, par exemple, est très simple et reprend la majorité des additifs en indiquant le taux de toxicité.
Il peut être utile de retenir quelques additifs alimentaires à éviter :

Dans les conservateurs, il faut éviter :

Les benzoates (E211- E212 – E213). On les retrouve dans les aliments transformés et dans certaines boissons.
Les BHA (E320) et les BHT (E21). On les utilise pour éviter l’oxydation des huiles. On peut les trouver dans des huiles grasses, des céréales, des pâtisseries, des fruits séchés,…
Les gallates de propyle (E310). On les utilise pour protéger les aliments de l’oxydation.
Les nitrites (E250) et nitrate de sodium (E249). On les utilise dans la conservation des viandes transformées et de certains fromages.
Les sulfites (E220 à E228). On les retrouve dans certains médicaments, dans le vin, la bière, certains fruits surgelés,…

Dans les édulcorants artificiels, on évitera :

L’acésulfame de potassium (E950) que l’on retrouve souvent dans les chewing-gums, desserts, cafés et thés instantanés et tous les produits ‘’ light’’ et l’aspartame (E951) qu’on retrouve également dans tous les produits à faible calorie dit ‘’light’’.

Au niveau des exhausteurs de goût sont à bannir :

Le glutamate mono sodique (E621). Il donne du goût aux aliments et on le retrouve la plupart du temps dans les plats asiatiques.

Finalement, pour les colorants, il faut éviter :

Les rouges : érytrosine (E127), cochenille (E120 et E124) et l’amarante (E123).
Et les jaunes : tartrazine (E102) et chrysoïne S (E103).

Il faudra donc s’armer de patience et de sa liste des additifs alimentaires potentiellement dangereux ou dangereux avant d’attendre leur interdiction dans des textes de loi officiels.

UNE VIE DE COMBAT

Corinne Gouget, auteure française a mené un long combat pour dénoncer ce que les industries agro-alimentaires et surtout les autorités veulent essayer de cacher.
Révoltée par le manque de reconnaissance des ses dangers par le corps médical, elle a tenté depuis des années d’éveiller les consciences sur les dangers de l’aspartame (E951) que l’on retrouve dans les produits ‘’light’’. Elle a écrit un livre en 2006 intitulé ‘’Additifs alimentaires : attention danger’’ qui est continuellement réédité qui fait office de guide pour reconnaître les additifs dangereux pour la santé.
Corinne a été privée de ses filles pendant 7 ans suite probablement à ces investigations et cette envie de dénoncer le danger des additifs alimentaires.
Elle s’est hôté la vie en 2015. Selon son webmaster, Eric Buzin, elle se serait suicidée car lassée et épuisée de la toute puissance malsaine de ces lobbies pharmaceutiques et agro-alimentaires.

A lire : Additifs alimentaires danger ! De Corinne Gouget, publié aux éditions chariots d’or.

Sources:

http://www.additifs-alimentaires.net/E1503.php#toxic

https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/nutrition-additifs-alimentaires-servent-ils-2313/

http://www.editions-chariot-dor.fr/livre-15809-Additifs-alimentaires-danger-.html

https://www.futura-sciences.com/sante/definitions/medecine-additif-alimentaire-9179/

https://www.femina.fr/article/quid-des-additifs-alimentaires

http://www.danger-sante.org/additifs-alimentaires-nourriture/

https://www.sciencesetavenir.fr/nutrition/securite-alimentaire/un-nouveau-guide-classe-les-additifs-alimentaires-selon-leurs-effets-sur-la-sante_111157

https://www.belgium.be/fr/sante/vie_saine/alimentation/securite_alimentaire/additifs

http://principesante.com/danger-des-additifs-alimentaires/

http://www.wikistrike.com/article-comment-la-justice-priva-corinne-gouget-de-ses-2-filles-pendant-7-ans-pour-avoir-denonce-les-additif-121817068.html

https://www.ouvertures.net/corinne-gouget-aspartame-glutamate-la-nouvelle-generation-est-en-danger/

Soupe crue: Délice d’épinards, tomates et dattes

Une soupe crue de mon cru 🙂 Un vrai régal  ! Même si la photo ne parle pas d’elle-même 🙂

Ingrédients (pour 1-2 personnes):

200g d’épinards frais.
3 belles tomates
5 dattes trempées depuis la veille et dénoyautées

Mixer les tomates et les dattes, et ajoutez les épinards ensuite, mixez à vitesse réduite.
C’est prêt, bon appétit 🙂  À goûter les yeux germés!

Vous pouvez garnir de coriandre fraîche si vous le désirez.

epinardtomatesdattes gp1

 

 

 

 

In het nederlands

Rauw en superlekker!

200g verse spinazie
3 mooie tomaten
5 voorgeweekte en ontpitte dadels

Traag mixen, eventueel verse koriander aan toegevoegd naar smaak

 

 


 

 

Le plasma marin de René Quinton

Le plasma marin ou Quinton, c’est quoi ?

La composition de l’eau de la mer est physiologiquement similaire à la composition des principaux liquides internes de tous les organismes vivants. Ce principe, c’est René Quinton, physiologiste et biologiste français qui l’a découvert.
Cette découverte découle d’une expérimentation qu’il a menée en 1897 dans un laboratoire public de physiologie pathologique du Collège de France: Il a évacué le sang d’un chien de 10 kg jusqu’à ce que l’animal tombe dans le coma. Il a ensuite remplacé son sang avec 6,6 kg d’eau de mer, diluée avec de l’eau distillée. Le chien s’est ensuite remis sur pied.
L’expérience a été répétée pour confirmer que l’eau de mer est «comme le sang» et donc n’entraîne pas de danger en injection pour un chien et l’animal s’est réveillé encore plus en santé qu’il ne l’était avant l’expérience.
Ensuite, il testa le plasma marin sur les humains. Il commença par une personne atteinte de la thyphoïde au stade final de la maladie. Quelques jours après l’injection du plasma marin, l’homme fut complètement sauvé.
Après cela, il fit ouvrir plusieurs centres en France, en Belgique et en Égypte.
Il mourut en 1925 et son projet se fit oublier jusqu’en 1980 où des médecins français décidèrent de reprendre son approche thérapeutique.

Pour en savoir plus, téléchargez ce petit livre sur René Quinton: “René Quinton – Ce génie oublié

De quoi est composé le plasma marin ?

On recueille le plasma marin en profondeur dans les océans et dans des endroits préservés de la pollution. L’eau de mer est ensuite traitée et microfiltré selon le procédé de René Quinton.

On retrouve dans 1 litre de plasma marin comme le Vitalisea:

Plasma marin isotonique ou hypertonique ?

Le plasma marin hypertonique c’est de l’eau de mer filtrée, non chauffée et sans aucune transformation. Elle contient plus de minéraux et d’oligo-éléments que notre plasma humain.
Le plasma marin est isotonique quand la solution hypertonique est diluée dans de l’eau faiblement minéralisée et non distillée. C’est ce plasma qui se rapproche le plus de notre plasma sanguin.

Pourquoi utiliser du plasma marin ?

En général, on utilise le plasma marin quand on est sujet à de la fatigue physique ou intellectuelle, du stress ou du surmenage, une baisse de performance ou tout simplement si on a des carences en minéraux et en oligo-éléments.

Contre-indication: hypertension arterielle.

Le plasma marin peut régénérer tous les mécanismes cellulaires. Voici la liste de son utilité :

(Source : ceanplasma.org)

Comment s’utilise-t-il ?

Cela est très simple, il peut se prendre soit par voie orale, soit par spray nasal ou en compresse sur la zone cutanée à traiter et pour les plus courageux, on peut l’injecter sous la peau (pour le plasma isotonique uniquement dosé parfaitement et de qualité médicinale, cette pratique doit se faire par un praticien de santé).

Sources et Lectures:


http://www.sante-vital.com/les-bienfaits-de-leau-de-quinton-(le-plasma-oceanique)-phytomarin-ampoule,124.html
https://www.mr-plantes.com/2014/05/plasma-de-quinton/
http://infos-santes.blogspot.be/2014/05/les-bienfaits-du-plasma-rene-quinton.html
http://www.psychologies.com/Bien-etre/Medecines-douces/Se-soigner-autrement/Articles-et-Dossiers/Le-pouvoir-guerisseur-du-plasma-marin/4Un-supplement-nutritionnel
https://www.reponsesbio.com/plasma-marin-rene-quinton/